le blog masturbationart
Citations
Woody Allen Témoignages de femmes
Françoise, 43 ans On peut atteindre l’orgasme en même pas deux minutes. Il m’arrive parfois de le faire juste avant de m’endormir, et c’est fou ce que je passe une bonne nuit ! D’autres fois, je l’organise comme un rendez-vous avec moi : répondeur branché, musique sensuelle, livre érotique, rêveries… Je prends mon temps, je laisse le plaisir venir, s’éloigner, revenir, comme des vagues de plus en plus douces et chaudes, jusqu’au moment où tout m’échappe et où je jouis, à la fois tétanisée et tremblante. Quand je reviens à moi, je me sens neuve, détendue… Cela dit, c’est très différent de l’amour avec un partenaire. Ce n’est ni plus fort, ni moins fort, ni mieux, ni moins bien. C’est autre chose, et les deux peuvent – je dirais même doivent – coexister pour que l’on se sente totalement épanouie.
Geneviève, 66 ans Mon mari est un peu plus âgé et a parfois du mal à répondre à mes désirs. Alors, plutôt que de lui en vouloir ou de lui demander de prendre des médicaments, il m’arrive de me caresser en lisant un livre érotique ou devant un film. Ça me rend ma bonne humeur et ça ne fait de mal à personne. Je vous le dis à vous, mais je n’irais pas en parler à mes voisines…
Justine Voilà, j'ai eu envie, moi aussi, de faire partager un des meilleurs de mes moments : le jour où j'ai eu du plaisir pour la première fois. A ceux et celles à qui je l'ai déjà raconté et surtout à toi, ma belle et tendre amante, mon amour, ma douce et jolie, j'espère que ça vous plaira de me relire… J'avais 13 ans et quelques, j'étais déjà formée depuis plus d'un an (j'ai eu mes premières règles à 11 ans), j'avais de jolis petits seins (pas aussi beaux que maintenant mais les garçons se retournaient sur moi…), des hanches bien formées et un adorable petit minou avec une toison brune, j'aimais d'ailleurs me le regarder en me mettant devant une glace, face au soleil, ça faisait des reflets roux…, ça m'excitait de sentir le regard des garçons s'attarder sur mes seins, celui des filles, j'ai attendu un an, mais ça, je la raconterai plus tard, cette aventure d'été avec Aude. Pour revenir à cette première fois, j'étais donc en classe, j'étais assise à côté d'un garçon qui me plaisait bien, gentil, pas trop gamin, mignon comme un cœur, blond comme les blés, assez grand pour son âge (il devait avoir 14 ans , je crois) et surtout, il avait fait sa puberté, je me souviens, c'était un des rares de la classe a avoir mué, bref, il me plaisait beaucoup et mes fantasmes d'adolescente tournaient autour de lui… Ce jour là, je me souviens très bien, on était en contrôle de maths, j'avais un peu de mal avec, ça m'énervait, alors j'ai commencé à réfléchir, à rentrer dans mes pensées et je ne sais pas pourquoi, je me suis évadée dans mes fantasmes. Sans le vouloir, sans y réfléchir, j'ai commencé à croiser et décroiser mes jambes, ça me faisait drôle…et j'ai bien senti une certaine humidité envahir mon minou, je n'étais pas très excitée, je crois, mais c'était à la fois très étrange et très agréable. D'autres filles m'avaient déjà parlé de "mouiller ", mais c'était ma première expérience de la chose. A force, j'ai senti comme une espèce de chaleur dans le bas ventre, je croisais et décroisais mes cuisses de plus en plus souvent jusqu'à ce que je les garde croisées, j'étais vraiment très excitée à ce moment là, j'avais la sensation d'avoir ma petite culotte très humide et collante…j'ai serré les cuisses très fort, par à-coups de plus en plus rapprochés mes seins ont durci, je les sentais pointer si fort et tout d'un coup, je me suis sentie partir, ça m'a tétanisée, j'ai tendu les jambes en les gardant croisées, en les serrant de plus en plus fort à chaque à-coup, j'ai senti mon con se serrer spasmodiquement, j'avais envie de mettre ma main dans ma culotte, je ne pouvais pas mais ce que j'ai fait…j'ai saisi la cuisse de mon voisin, je l'ai serré très fort, il s'est retourné sur moi et…m'a pris discrètement la main…pour la poser sur sa braguette, il s'était sans doute aperçu de tout, il bandait… Je savais ce que c'était, j'avais déjà vu un garçon bander ( la bosse dans le maillot…) quand j'étais sur la plage et que, dans notre petit groupe, un couple s'embrassait… mais c'était la première fois que je sentais une bitte sous ma main et dure en plus Je lui ai serré le sexe pendant toute la durée de ma jouissance, avec des pressions à chacune de mes contractions, ce n'était pas véritablement un orgasme, maintenant quand je jouis, c'est mille fois plus fort et surtout, je crie, non, je hurle, (ce plaisir, ma douce et belle, tu sais que c'est toi qui me l'a apporté ! ! ! ). Pour revenir à mon copain, à force de le serrer par à-coups, j'ai bien senti qu'à un moment, il s'est immobilisé, même à travers le pantalon, j'ai senti comme quand on prend un tuyau d'arrosage (… !) et qu'on ouvre le robinet…il a joui, il a éjaculé, j'en suis sûre, surtout que ce n'était pas d'un coup, mais à plusieurs reprises rapprochées ! ! ! Pourtant, je ne l'ai pas masturbé à proprement parler, mais les garçons, à cet âge, ça part vite ! ! ! Le premier garçon que j'ai réellement caressé, c'était l'été de mes 14 ans, mais ça aussi, je le raconterai une autre fois. Et puis, on s'est calmés tous les deux, on a fait comme si de rien n'était, on s'est replongés dans ce contrôle mais, à la récré suivante, on s'est retrouvés à parler ensemble…à la sonnerie, il a posé un baiser rapide sur mes lèvres, j'étais aux anges ! ! ! On est "sortis " ensemble un peu après cette histoire mais on n'a jamais recommencé…dommage après tout ! ! ! Je me relis, je crois que ce récit est assez fidèle, j'ai sûrement oublié des détails, en fait pendant ma jouissance, j'étais tellement ailleurs…moi, chaque fois que j'y repense, immédiatement je mouille, il faut que je me masturbe, c'est vrai que j'en ai encore les images en tête !
Témoignages d’hommes
Philippe : Récits de plaisirs multiples A lire certains articles, on pourrait penser que les hommes, en général, ne peuvent avoir qu’un seul orgasme. Cela n’a pas été mon cas, et ce depuis ma plus petite enfance. Voilà ce dont je me souviens : les plaisirs de l’onanisme remontent dans mon souvenir à mon enfance, bien avant de pouvoir « juter » comme les grands. Debout ou allongé dans mon lit, le soir, je me donnais de longues séances de masturbation, attendant avec impatience le jour où de mon pénis tendu jaillirait la semence virile. Puis, un jour, tout changea. Je devais avoir 13 ans quand enfin un peu de semence perla au bout de mon gland violacé. J’étais aux anges. J’étais enfin devenu un homme ! Petit à petit, progressivement, les quantités de sperme éjaculées augmentaient, prenaient de la consistance. Mon plaisir également augmentait sans cesse. Il faut dire qu’à la maison, il y avait plusieurs livres traitant de la sexualité, de la masturbation, que ce soit masculine ou féminine. Il y avait même de nombreux croquis qui illustraient les positions à adopter, ce que j’imitais scrupuleusement. Vers seize ans, je me masturbais régulièrement, presque tous les jours. Puis cela alla en diminuant. Pour ne plus pratiquement le faire qu’une fois par semaine, généralement le samedi soir. Il faut dire que mes séances de masturbation duraient assez longtemps, presque une heure. J’avais aussi un avantage par rapport à d’autres garçons. En effet, contrairement à certains de mes camarades (j’avais eu l’occasion de comparer à plusieurs reprises), j’avais la possibilité de rester en érection après un orgasme, ce que j’entretenais par des caresses légères sur les testicules, le périnée et la base de ma verge. Puis, une fois ma respiration calmée, je me masturbais à nouveau, de plus en plus vite. J’avais remarqué que ma verge était alors devenue plus dure, plus raide, à partir de la seconde fois. Allongé sur le dos, elle pointait vers le plafond comme un os, avec presque l’impossibilité de la faire bouger vers le bas. Mon plaisir était généralement plus intense pour les jouissances suivantes, et aussi plus long. Quand le plaisir survenait, j’enlevais mes doigts pour laisser mon pénis palpiter tout seul, laissant bientôt fuser les jets blancs qui retombaient un peu partout sur moi et le lit… C’est ainsi que pendant plusieurs années, jusqu’à ma première liaison féminine, je pouvais jouir cinq ou six fois de suite, avec des éjaculations de moins en moins abondantes. Si les premières jouissances fusaient loin sur mon torse, et même sur mon visage, les dernières ne laissaient perler qu’une goutte translucide. Quelquefois je persévérais jusqu’à jouir « à sec », me laissant le souvenir d’une ultime jouissance brûlante mais profonde. Je m’arrêtais alors à ce moment-là, épuisé, souvent en sueur, mais comblé par ma pratique solitaire. Je m’endormais rapidement, une fois les traces de mes jouissances enlevées, et elles étaient nombreuses ! Je n’ai su que très récemment que ma mère et mon père avaient assisté plusieurs fois à mes séances de masturbation, par la porte entrebâillée ( je ne devais pas être discret !), mais n’avaient rien dit…
Edouard : vacances d'adolescent avec Uliana et mon apprentissage La révélation du plaisir solitaire féminin remonte pour moi à mon adolescence, alors que moi-même, comme de nombreux garçons, je m'adonnais sans réserves aux délices de l'onanisme. Marc : techniques de masturbation le "mou" et le "frein" J'espère compléter un peu la rubrique "technique", avec deux ou trois trucs j'utilise fréquemment (trop ?)... La première est très ancienne, puisque selon mes sources, invérifiables en la matière. Cette technique remonterait aux.... grecs !!!! Il s'agit tout simplement d'utiliser en guise de "vagin" artificiel du.... mou (poumon) d'animal... Peu importe la race, je n'ai pas trouvé de différence notable... Peu onéreux, il suffit de pratiquer une petite fente, à l'aide d'un bon couteau.... Evidemment, à ne pas utiliser à la sortie du réfrigérateur.... La deuxième me semble plus personnelle, puisque je n'en ai jusque là pas trouvé témoignage... Elle m'a été inspirée en fait d'une nécessité, la discrétion dans un dortoir surpeuplé de l'armée, avec bien sûr des lits qui grincent à souhait.... En fait, je me masturbe un peu à la manière d'une femme, en frottant d'un mouvement circulaire de mon index la zone du frein. Au départ, cela avait le seul avantage de la discrétion dans le mouvement.... Mais au fur et à mesure, j'ai développé cette technique, qui me permet par exemple de me maintenir presque à l'infini au bord de l'orgasme... Mais j'ai aussi découvert deux autres choses à propos de cette technique.... Pas inintéressantes non plus... Premièrement, si l'on ose bien sûr, s'en ouvrir à sa partenaire du moment, elle est très intéressée.... En fait, cela lui rappelle ses propres masturbations, et cela la trouble... délicieusement... Secondement, la sensibilité de cette zone, une fois maîtrisée, permet d'utiliser tout ce qui vibre, une fois localisé le bon endroit.... Pour l'anecdote, et tant pis pour les sex-shops, j'ai découvert une autre façon d'utiliser une.... brosse à dent électrique !!!!! Amusez-vous bien...que Sejinanis : La découverte de la masturbation auprès d'autres garçons On a toujours considéré la masturbation comme un pis-aller de la sexualité. Pourtant, pour ceux qui en sont adeptes comme moi, c'est tout un autre plaisir. Ayant découvert la masturbation très tôt, en compagnie des jeunes de mon quartier, je n'ai plus cessé depuis. Fabrice, 33 ans : ses techniques de plaisir solitaire au quotidien ... Rémy, 55 ans : comment il a passé un cap à 13 ans ...Bonjour, Tout d'abord, je trouve génial que les femmes évoquent, sans fard, leur expérience dans ce domaine, et échange même des idées afin d'améliorer leur technique.
La masturbation, c'est faire l'amour avec quelqu'un qu'on aime.
Il n'y a que deux choses qu'on peut contrôler dans la vie. L'art et la masturbation...
Léo Campion Chansonnier et caricaturiste français (1905-1992)
En fait de masturbation, tant qu'on ne peut pas compter sur autrui, il faut compter sur ses doigts.
Jacqueline Feldman
Le Petit Larousse, né en 1906, a dû attendre l'âge de soixante-dix ans (son édition de 1976) pour connaître la masturbation.
Jamie Lee Curtis
Je continue à considéerer la masturbation comme le meilleurs passe-temps possible.
Tout à la découverte des possibilités de mon corps en pleine croissance, je ne pensais pas, à tort, que mes compagnes féminines de l'époque éprouvaient les mêmes envies, et pratiquaient également une masturbation plus ou moins assidue. L'année de mes quinze ans fut celle de cette découverte. Régulièrement, cette année là, durant mes vacances, j'allais à la pêche un peu plus loin sur la plage, dans une zone rocheuse. Pour y arriver plus facilement, je grimpais sur le talus, pour redescendre à l'endroit de pêche souhaité. C'est ainsi qu'un jour, sans l'avoir voulu, je tombais subitement sur une scène qui me laissa interdit : juste en dessous de moi, dans une anfractuosité de rochers isolés, se tenaient deux filles de mon âge. L'une d'elles, une brune aux cheveux longs, que je voyais assise en tailleur sur le sable, les mains jointes sur le ventre, regardait sa compagne. Celle-ci, blonde châtain, avait descendu son bas de maillot aux chevilles, et les jambes aussi écartées que possible, se masturbait frénétiquement. D'où j'étais, je pouvais distinctement voir les doigts fins s'agiter en haut de la fente intime, sur le bourgeon enflé du clitoris. Ce qui me frappait surtout, c'était l'état dans lequel se trouvait la jeune fille : tout son corps était agité de soubresauts nerveux, ses jambes s'ouvraient et se fermaient convulsivement, et la tête, penchée en avant, ne cessait d'osciller de droite à gauche. Les yeux fermés, la bouche entrouverte, la jeune fille semblait éprouver un plaisir indicible. J'entendais des " Ahhh !… Ahhhhh !… " sourds, rauques et répétitifs, qui annonçaient le dénouement proche de son plaisir. Accroupi derrière mon rocher, le cœur battant, tout en sueur, je me demandais bien comment tout cela allait finir. Sans même me toucher, mon sexe était au bord de l'explosion. Pour atténuer un peu la tension, je sortis ma verge congestionnée du caleçon de bain. Celle-ci, tendue à mort, palpitait involontairement… Je portais les yeux à nouveau sur la jeune fille qui tremblait de tous ses membres, une main crispée sur le rocher derrière elle, l'autre s'agitant follement au bas du pubis orné d'une touffe clairsemée de poils clairs. Soudain, comme tétanisée, elle cessa soudain son mouvement de masturbation, poussa un long cri étranglé, tandis que coulait de son sexe, sur une cuisse, une longue larme transparente… Je ne pus résister, portais une main sur ma verge, pour éjaculer aussitôt en longs jets crémeux qui maculèrent le rocher de gouttes blanches….
Un jour en allant sur le chemin de la stade, j'ai aperçu trois de mes amis qui étaient à peine plus âgés que moi à l'époque, se rendre dans les buissons. Curieux, je les ai suivi dans l'espoir de découvrir leur préoccupation : allongés côté à côte, les sexes à l'air, ils se sont masturbés sans aucune gène. Peu de temps après, ils ont éjecté tour à tour un liquide blanc qui maculait leur pubis. Surpris de cette découverte, je suis rentré sans aller au match, pressé de faire l'expérience sur moi-même : dans ma chambre, je me suis dévêtu avec une érection naissante entre les cuisses, et j'ai commencé à caresser mon sexe comme je les ai vu faire. Au début, je trouvais çà un peu agréable, mais après, ça devenait irritant ; c'est ainsi que, jugeant moi-même l'utilité d'un lubrifiant, je continuais avec de l'huile de table. Plus tard, je découvrais que la masturbation est une pratique presque innée de l'individu et qu'elle s'apprend tout
seul. Maintenant, j'ai 18 ans, et la masturbation occupe la plus grande part de ma vie sexuelle : j'aime à m'isoler dans un coin tranquille pour pouvoir pomper ma queue à la limite du supportable. J'ai découvert aussi que, la vue des autres qui le font m'excite au plus haut point et est souvent une incite pour moi, à le faire.
J'ai 33 ans marié et comblé sexuellement mais toujours adepte de masturbation seul ou à deux.
J'habite une maison avec jardin et j'ai mis en application une des méthodes présentés sur ce site. A la fin de l'été, c'est donc dans ce jardin que je me suis adonné à ce plaisir régulier que je recherche dès que je peux en prendre le temps. Il était tard et faisait nuit. J'ai attendu car de jour on peut nous voir. Nu complètement, le vent parcourant mon corps, je me suis appuyé debout sur le muret de mon barbecue d'extérieur. J'ai saisi mon sexe déjà en érection depuis un moment tellement la situation m'excitait. J'ai commencé par un mouvement de bas en haut et de haut en bas, serrant parfois très fort ma verge car une petite douleur participe à la monté du plaisir. De ma main gauche je tripote mes testicules rasés. Quand le plaisir est bien engagé, je met à genoux sur l'herbe et continue à me branler. Le vent glisse sur mes fesses et mon petit trou que je titille d'un doigt mouillé. Je m'allonge enfin. Les épaules sur l'herbe humide, les fesses en l'air, j'ai toujours en main, ma queue gonflée de plaisir. Je descend petit à petit jusqu'à poser ma main sur le sol. Désormais c'est mon corps qui bouge de bas en haut et ma main qui reste collé au sol. Comme si je pénétrais un vagin ou un anus. Là aussi je serre parfois ma main. Je prends un plaisir jamais testé comme cela. Je souffle sur l'herbe je ferme les yeux et me laisse aller. Je ne tarde pas à atteindre l'apothéose. Une décharge me parcoure le corps et je décharge une forte concentration de sperme qui finit dans l'herbe, et je reste là, un moment, toujours les fesses en l'air à profiter de l'instant, pendant que madame dort dans la maison. Ma dernière masturbation date de hier soir. Comme souvent sur le canapé, pendant que madame dort, je suis nu sous mon peignoir et me masturbe doucement. Hier soir, j'ai testé une méthode douce et brusque à la fois. Allongé j'ai pris ma queue de la main droite et ai pratiqué un mouvement doux pour redescendre vers la base de mes testicules toujours rasées et je remonte brusquement en tirant sur ma queue. Ce geste brusque me fait rapidement jouir.
Pour éviter d'éjaculer partout, par une pression à la base de la verge sur le canal spermatique, je bloque la monté du sperme mais pas celle du plaisir. Je pense à tous ces gars et filles qui se branleront en lisant mon histoire.
Il me semble que les hommes sont plus frileux pour aborder ce sujet, pensant peut être qu'en avouant cette pratique, leur virilité serait remise en cause. Pour ma part, sans le crier sur tous les toits, cela ne m'a jamais culpabilisé de me masturber régulièrement, tout en ayant une vie conjugale normale, d'autant que mon épouse est au courant de mes pratiques solitaires. Mes expériences, enfin celles qui sortent de l'ordinaire, sont trop nombreuses pour les évoquer toutes. Aussi, je me limiterai à raconter celle qui a été le déclic pour moi. C'était dans les années 60, et j'habitais en grande banlieue parisienne, dans un bourg d'un millier d'âmes, à la limite de la campagne. Aussi loin que je me souvienne, le fait de me caresser le sexe, me procurait une sensation agréable, qui généralement débouchait sur une érection, plus ou moins forte, mais ça n'allait pas plus loin. Ce n'est que vers 13 ou 14 ans, lorsque le corps change et les poils pubiens apparaissent, que les choses devinrent plus sérieuses. Avec un camarade, le sexe (enfin, ce que nous en connaissions) était au centre de nos discussions, et nos jeux devenaient moins innocents. Pendant les congés scolaires, nous profitions de la campagne pour nous isoler dans un sous-bois, afin de regarder des photos érotiques de l'époque.
Invariablement, sous le charme des photos, nous poursuivions par un dérivé de "pigeon vol", où les gages étaient, bien entendu, de retirer un à un nos vêtements, jusqu'à se retrouver totalement nus, et terminer par une comparaison de nos sexes en érection, en résumé, des séances de "touche pipi". Un jour, il s'est allongé dans l'herbe, le sexe emprisonné dans sa main droite, qui décrivait un mouvement de va et vient, lent au départ puis de plus en plus rapide, ce qui semblait le mettre dans un état de béatitude. Un peu éberlué, je suis resté figé en voyant son gland apparaître et disparaître au fil des mouvements, et prendre des proportions qui me semblaient énormes. Bien sûr, j'ignorais de quoi il s'agissait, mais pour ne pas être en reste, je l'imitais immédiatement. Par maladresse ou par précipitation, j’eus une éjaculation en quelques secondes. Bien qu'éphémère, j'ai goûté la jouissance de ce flot qui remonte des tripes jusque dans la tête, créant un léger vertige. Un doute sur la présence de ce liquide chaud et laiteux dans ma main, me gâcha un peu mon plaisir, jusqu'à ce que j'aperçoive un liquide identique jaillir du sexe de mon camarade. A ce même instant, je me rendis compte que j'étais resté debout, et que l'on pouvait m'apercevoir du chemin qui n'était distend que d'une vingtaine de mètres. Mon esprit était confus, et quelque chose en moi me poussait, non pas à me mettre à l'abri des regards, mais au contraire à me retourner face au chemin, le sexe en érection, et la main pleine de sperme levée vers le ciel, comme pour crier au monde entier "ça y est, je suis un grand... je me suis masturbé" Bien entendu, j'ai renouvelé l'expérience le soir même dans ma chambre, mais dans ce contexte feutré je ne ressentis pas la même extase.
Il n'empêche qu'à 55 ans, je pratique toujours la masturbation, pour mon plus grand plaisir.